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Le cercle des polygraphes #7. Cinquante nuances de violence

Quand les faits divers ne sont pas des articles de journal mais des événements qui se déroulent devant vous et dont vous connaissez les protagonistes.
Quand les immeubles à démolir ont été la troisième peau de leurs habitant.e.s, il reste à raconter que dans ces bâtiments à la courte vie, il y avait des vies pleines. 
Quand les châtiments corporels, la pédophilie et le bizutage égayent la vie du pensionnat.
Quand les jeux vidéos exaltent (le plus souvent) les exploits sanglants des vainqueurs et quand ils proposent (rarement) des figures de résistance.
Quand la violence politique interroge et conteste la légitimité de la violence d’Etat.
Le cercle des polygraphes propose des récits qui racontent les finalités multiples dont la violence est le moyen.

Références au fil de l’émission :

 Musique : Los violadores "1, 2, ultraviolento", Y ahora qué pasa, eh ? 1985


 Série de jeux vidéos Wolfenstein (id Software, MachineGames)
 Musique : Mick Gordon et Tex Perkins, "Song of the French Partisans", 2015 (Bande originale du jeu Wolfenstein : The old blood)
 Musique : Turnstile, "T.L.C.", Glow on, 2021.
 Livre : Une jeunesse allemande, Jean-Gabriel Périot, 2015
 Chanson : Johnny, « Les coups, ça fait mal »
 Chanson : Edith Piaf, « Moi, j’aime l’amour qui fait boum »
 Film ; Le masque d’or, avec Boris Karlof (alias Frakenstein)
 Film : Règlement de comptes à OK Corral
 BD : Les pieds Nickelés (avec Ribouldingue, Croquignol et Filochard)
 Livre : Aristide Barraud, Bâtiment 5, Courte vie pleine, Seuil,


 Livre : Jean Genet, préface au livre « Texte des prisonniers de la fraction armée rouge » et « dernières lettres d’Ulrike Meinhof », introduction à Klaus Croissant, cahier libre 337, Maspéro, 1977