Les promoteurs des monnaies locales et les acteurs de la « finance verte » ont pour objectif de favoriser la transition écologique. Comment un produit financier ou une monnaie locale peuvent-ils servir un projet de transition écologique ? Les objectifs visés sont-ils mesurables et mesurés ? Comment donne-t-on une valeur financière à la nature ?
Quels sont les intérêts, motivations, raisons ou bénéfices des acteurs impliqués (utilisateurs, prêteurs, emprunteurs) ?
Nous avons décrit ces dispositifs et leur objectif dans l’émission précédente. Dans ce 2e numéro nous nous focalisons sur leur fonctionnement et leurs limites pratiques ou théoriques.
Pour répondre à ces questions nous avons invité :
Nous avons invité :
- Michel Tessier membre du conseil d’administration de la monnaie locale Heol
- Marina Flochay, responsable de l’Ingénierie et de la Communication Financière du Groupe Arkéa
- Pierre Scemama, économiste, chercheur à l’Ifremer et au laboratoire Amure.
La rencontre est coanimée par : Myriam Nourry, économiste, enseignante chercheuse à l’UBO et Hervé Le Men, bibliothèques universitaires UBO.
La parole à Michel Tessier.